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28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 03:14

Aujourd'hui est la sixième journée de l'antidouleur et je constate une légère amélioration. Je ne sais si c'est seulement le Tridural qui agit ou si en complément le Célébrex que j'ai ajouté afin d'enrayer l'inflammation au niveau du nerf sciatique serait la cause de cette amélioration. J'ose penser que oui car un antidouleur agit seulement au niveau de la douleur et l'anti-inflammatoire enraye l'inflammation. Il est recommandé de prendre le Célébrex pendant 10 jours consécutifs. 

 

Comme l'anti-inflammatoire est prescrit au besoin pour 6 mois, j'ai mis toutes les chances de mon côté afin de ne plus souffrir. Et je constate que je vais un peu mieux.

 

Je remarque par contre, que des problèmes de brûlements oesophagiens ce sont ajoutés. Les anti-inflammatoires et l'antidouleur sont en grande partie en cause de ces dérangements désagréables.

 

Il est plutôt rare d'obtenir de bons résultats sans créer un désagrément ou un effet secondaire. Je me donne encore toute la semaine prochaine afin de déterminer si ce traitement est approprié et je verrai mon médecin dans la deuxième semaine de mai à son retour de vacances afin d'évaluer le traitement.

 

 

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26 avril 2011 2 26 /04 /avril /2011 06:52

Me revoilà pour vous donner des nouvelles du résultat de mon antidouleur

 

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J'en suis à mon quatrième comprimé et je constate une amélioration tranquillement. Je ne veux pas trop me prononcer, car ce n'est pas parfait en ce moment.  Mon nerf sciatique est encore très douloureux et si je dois être en station debout ou marcher 15 minutes et plus, il n'y a plus rien à faire pour me soulager.



Hier, nous étions partis au marché d'alimentation IGA et je n'ai pu attendre à la caisse pour payer, mon mari a terminé le tout et je suis allée m'asseoir dans la voiture.

 

La douleur était lancinante, et lorsque ça arrive je boitille, je ressens des chocs électriques dans la fesse et la jambe et je dois m'asseoir sinon je perds l'équilibre.

 

Ma douleur est bien présente et au même endroit que sur la photo ci-contre.



Si je remarque une amélioration, c'est au niveau de la prise de mes anciens antidouleurs que je devais prendre à raison de 2 comprimés aux 4 heures (total de 8 par période de 24h).  Et même aux 4 heures c'était trop long l'attente, parce qu'au bout de 2 heures j'avais déjà besoin de ma dose suivante. La douleur n'était calmée que pendant 2 heures.

 

Maintenant,je n'ai plus besoin de le prendre dans le jour parce que le tridural est plus puissant avec ses 300 mg et la dose de tramacet a dûe être diminuée qu'à 2 comprimés par période de 24 heures.

 

J' ai besoin du tramacet le soir, période  à laquelle je me sens plus fatiguée.  C'est un pas de fait et je finirai bien par avoir la dose indiquée pour bien me soulager.  Cela m'encourage, il faut que je sois patiente! 

 

 

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24 avril 2011 7 24 /04 /avril /2011 01:38

Il est tôt encore pour déterminer si l'antidouleur est adéquat ou pas.  Par contre,  je ne vois aucun changement et j'ai aussi mal.

  

Je ne sais pas ce qu'on fera pour me soulager si celui-ci ne fonctionne pas.  On optera pour autre chose c'est évident.  Je me souviens lors de mes menstruations douloureuses justes avant l'hystérectomie, on m'administrait une injection d'anti-inflammatoire qui me soulageait sur le champ. Je ne me souviens plus du nom malheureusement, et si les douleurs ne cessent pas, je demanderai à mon médecin de faire une recherche afin de trouver dans mon dossier ce qui me soulageait tant.

 

Aujourd'hui a été une journée difficile, je ne peux pas rester debout plus de 10 minutes, la douleur élance jusqu'aux orteils. J'ai été obligé d'essuyer la vaisselle assise.

 

Il faut que je me rende à l'évidence, pour l'instant, mon état se détériore rapidement. Aucun signe d'amélioration, et ça me décourage tellement.

 

Il faut trouver! J'angoisse et je me demande si le cancer dort encore.

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17 avril 2011 7 17 /04 /avril /2011 20:26

Ce matin, je me suis levée aussi courbaturée que les autres jours. Une fois debout, la douleur ne tarde pas à réapparaître et elle est encore plus violente.

 

Aujourd'hui dimanche, un dimanche pluvieux et venteux, même quelques flocons de neige sont tombés. L'hiver s'éternise et ce n'est rien pour améliorer mes douleurs cette température humide

 

Malgré l'augmentation de la dose de l'antidouleur à effet prolongé, je ne vois pas de changement, je dois aussi prendre le Tramacet à raison de 2 comprimés aux 4 heures. Maintenant que la dose de l'antidouleur à effet prolongé a été augmentée, je dois me limiter à 5 Tramacet par jour.

 

J'espère vraiment que mon médecin aura donné des directives à l'infirmière pour me prescrire le bon médicament.

 

Chaque personne réagit différemment à un antidouleur, et il faut parfois de la patience pour obtenir les résultats voulus, c'est-à-dire:  Ne plus souffrir.

 

Je suis une femme qui peut endurer la douleur mais il y a des limites car cette douleur est constante et persistante. 

 

Merci de me supporter et de m'encourager à ne pas baisser les bras.

 

 

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13 avril 2011 3 13 /04 /avril /2011 18:23

J'ai passé une mauvaise nuit, beaucoup de douleur à la fesse jusqu'à la jambe. Aucune position n'était confortable, allongée, assise, rien ne me soulageait.

 

Ce nerf sciatique m'en fait voir de toutes les couleurs.  J'ai bien hâte que mon médecin fasse une nouvelle prescription afin que la douleur s'atténue.

 

Il me semble que mon médecin aurait dû avant son départ en vacances demandé à voir tous ces gros cas afin de faire en sorte que lors de son absence tout soit en ordre, (traitement, prescription, examens...etc). Il est impensable de laisser souffrir des gens de la sorte. Lorsqu'une requête est demandée par la pharmacienne on devrait tout faire pour exécuter rapidement.

 

Tout ce que je veux est de ne plus souffrir et c'est une priorité pour moi, il est difficile de ne pas être soulagée lorsqu'il y a tant de douleur. J'ai l'impression d'être un cobaye qui essaie toutes sortes de médicaments pour trouver celui qui agira.

 

J'ai tellement espoir qu'on trouvera le bon médicament et j'espère vous annoncer sous peu que je ne souffre plus. 

 

Cliquez sur le lien ci-dessous. Avec votre souris vous pourrez en la passant sur les vertèbres vérifiez quelle vertèbre peux causer votre douleur. 

 

Merci à Jacqueline pour l'information!

 

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13 avril 2011 3 13 /04 /avril /2011 06:20

J'ai appris au même moment que mes métastases osseuses que j'avais également 2 hernies discales. La douleur que je ressens depuis presque 3 semaines (nerf sciatique), les douleurs dans la fesse, que je sois  assise ou debout sont insupportables et je dois remédier à tout cela rapidement car je n'en peux plus, ça épuise avoir mal en permanence.  Les métastasese ont causées les 2 hernies discales, et je ne peux recevoir aucun traitement de physiothérapie-kinésithérapie, massages, ni péridurale, ni infiltration à la cortisone et aucune manipulation de mon dos lourdement hypothéqué. Il ne me reste que les médicaments, et c'est urgent que l'on trouve celui qui me soulagera.

 

La hernie discale : qu’est-ce que c’est?

 

Une hernie est la saillie d’un organe ou d’une partie d’organe (le plus souvent, l’intestin) hors de sa position habituelle. Une hernie discale est la saillie d’une portion d’un disque intervertébral.

Entre chacune des 24 vertèbres mobiles de la colonne vertébrale se trouve un disque intervertébral formé d'une structure fibreuse et solide qui contient un noyau gélatineux (voir le schéma). Ces disques donnent une souplesse à la colonne et servent d’amortisseurs en cas de choc. Une hernie discale se produit lorsqu’un disque s’affaiblit, se fissure ou se rompt et qu’une partie du noyau gélatineux fait irruption.

Bien que la hernie discale puisse toucher n’importe quelle région de la colonne vertébrale, la grande majorité des hernies discales surviennent au bas du dos, dans la région lombaire. Dans ce cas, la hernie peut provoquer une lombalgie. Si la hernie comprime l’une des racines du nerf sciatique, elle peut s’accompagner de douleurs le long d’une jambe : c’est la sciatique. Une hernie peut aussi passer inaperçue; cela est généralement le cas lorsqu’elle ne comprime pas de racine nerveuse.

Qui est touché?

La hernie discale touche surtout les individus âgés de 35 ans à 55 ans. Les hommes sont plus nombreux à souffrir d’une hernie discale que les femmes, étant donné qu’ils sollicitent davantage leur force physique à travers leur métier ou le sport.

Il est difficile d’évaluer la prévalence de la hernie discale puisque certaines passent inaperçues. Les données actuelles permettent de croire que 1 personne sur 50 en est atteinte un jour ou l’autre.

Causes
  • La dégénérescence des disques intervertébraux, qui s’assèchent avec l’âge. La colonne vertébrale perd de sa tonicité, de son élasticité et de sa hauteur.
  • Une action brusque dans une mauvaise posture, comme soulever une lourde charge en position de torsion du tronc.
  • Le surplus de poids et la grossesse, qui augmentent les tensions sur la colonne vertébrale.
  • Une prédisposition héréditaire : plusieurs membres d’une famille sont parfois atteints. Les personnes prédisposées ont tendance à souffrir d’une hernie discale plus précocement, parfois même avant l’âge adulte. Des anomalies génétiques peuvent entraîner une faiblesse des structures qui composent la colonne vertébrale.



Quand consulter?

Dans les cas suivants, il est conseillé d’obtenir une évaluation médicale sans tarder.

  • Votre mal de dos est présent depuis plus d’une semaine et contraint vos activités quotidiennes.
  • Votre mal de dos est causé par une chute ou un accident.
  • Vos douleurs vous réveillent la nuit.
  • Vos douleurs s’accompagnent d’une fièvre inexpliquée ou d’une perte de poids.

Habituellement, avec de bons soins et quelques précautions, les hernies guérissent en l’espace de 4 à 6 semaines. Si ce n’est pas le cas, consultez un médecin de nouveau.

Consultez un médecin en urgence si votre mal de dos s’accompagne d’incontinence urinaire ou fécale (ou au contraire, de rétention), d’impuissance ou d’une grande faiblesse dans les jambes (au point où vous avez de la difficulté à vous tenir debout ou à monter un escalier).

 

L’opinion de notre médecin

Si vous souffrez d’une lombalgie incapacitante depuis plus de 1 semaine, n’hésitez pas à consulter votre médecin. Si votre douleur lombaire s’étend jusque dans votre jambe et qu’elle s’accroît en position assise ou debout, ou quand vous toussez ou éternuez, il y a de fortes probabilités qu’il s’agisse d’une hernie discale. Mais ce n’est pas toujours le cas, d’où l’importance d’une bonne évaluation.

Contrairement au mythe véhiculé durant plusieurs années, la chirurgie d’une hernie discale est rarement nécessaire. Le traitement conservateur (repos au début, médicaments et physiothérapie) soulage la vaste majorité des personnes en 4 à 6 semaines. Mais il y a plus! Il vous faut surtout éviter la récidive, qui n’est pas rare si les facteurs de risque sont encore présents. Il vous faudra peut-être modifier certaines habitudes de vie, comme perdre du poids et faire de l’exercice régulièrement, et certainement appliquer les recommandations que nous avons formulées au sujet de la posture et du travail dans la section Prévention.

 

Dr Jacques Allard, M.D., FCMFC

 


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13 avril 2011 3 13 /04 /avril /2011 04:23

J'ai reçu des nouvelles aujourd'hui de l'infirmière de mon médecin qui s'occupera de la contacter en Floride afin de me prescrire le bon médicament pour mes douleurs.

 

Comme le Tridural n'agit pas efficacement, elle voulait en savoir plus sur le type de douleur ressentie.  Comme je lui expliquais, mes douleurs sont situées à la ceinture pelvienne, ainsi que dans le nerf sciatique.  Les deux côtés sont touchés par la douleur mais le droit l'est plus que le gauche (sciatique). 

 

Douleur constante dans la fesse jusqu'aux orteils, et engourdissements. Les engourdissements ont retenus son attention et elle m'a parlée du Lyrica, un médicament que l'on administre pour des douleurs neuropathiques, entre autre:  (des engourdissements). On prescrit ce médicament également pour les douleurs fibromyalgiques.

 

Si ma mémoire est bonne j'ai déjà pris ce médicament dans les années passées pour me soulager des douleurs de fibromyalgie.  Et si ma mémoire est encore bonne, ce médicament ne me convenait pas, il m'excitait, je n'avais plus sommeil, je voulais faire mille chose à la fois, je ne pouvais plus relaxer tellement le médicament m'agitait.

 

Je n'ai rien à perdre mais tout à gagner si ce médicament peut me soulager, je l'essaierai une nouvelle fois si on me le prescrit. Il faut que ces douleurs cessent.

 

 

Comment ce médicament agit-il ? Quels sont ses effets ?

 

 

La prégabaline appartient à la classe des médicaments appelés analgésiques. Elle s'utilise pour soulager la douleur neuropathique associée à la neuropathie diabétique périphérique (douleur provoquée par les nerfs que le diabète a endommagés) et aux névralgies postzostériennes (douleurs persistant après la cicatrisation d'une éruption cutanée due à un zona).

 

La douleur provenant des nerfs touchés peut être aiguë ou très vive et de courte durée ; elle peut également provoquer une sensation de cuisson, de picotement ou d'engourdissement. La prégabaline s'utilise également pour soulager la douleur associée à la fibromyalgie (douleur dans les muscles, les ligaments et les tendons).

La prégabaline peut aussi s'avérer utile dans la prise en charge de la douleur neuropathique centrale (douleur émise par les nerfs endommagés du cerveau et de la moelle épinière). Une autorisation conditionnelle a été accordée à la prégabaline pour soigner la douleur neuropathique centrale en attendant les résultats des études qui confirmeront ses bienfaits cliniques.

On n'a pas encore établi avec précision la façon dont la prégabaline agit, mais il y a lieu de penser que son action s'exerce sur le cerveau où elle freine la libération de substances chimiques responsables de la douleur. Quelques personnes constatent une atténuation de la douleur qu'elles ressentent dès la première semaine du traitement par la prégabaline.



 

Comment doit-on employer ce médicament ?

Lorsqu'il s'agit de soigner la douleur neuropathique associée à la neuropathie diabétique et aux névralgies postzostériennes, la dose quotidienne initiale de prégabaline recommandée pour un adulte est 150 mg fractionnés en 2 ou 3 prises (par ex. 75 mg pris 2 fois par jour ou 50 mg pris 3 fois par jour) avec ou sans aliments.



Lorsqu'il s'agit de soigner la douleur neuropathique associée au système nerveux central, la dose quotidienne initiale de prégabaline recommandée pour un adulte est 150 mg fractionnés en 2 prises (par ex. 75 mg pris 2 fois par jour) avec ou sans aliments.

 

  

Lorsqu'il s'agit de soigner la douleur associée à la fibromyalgie, la dose quotidienne initiale de prégabaline recommandée pour un adulte est 150 mg fractionnés en 2 ou 3 prises (par ex. 75 mg pris 2 fois par jour ou 50 mg pris 3 fois par jour) avec ou sans aliments.

Après une semaine de traitement, votre médecin peut porter la dose quotidienne de prégabaline à 300 mg fractionnés en 2 prises (par ex. 150 mg pris 2 fois par jour). La dose quotidienne maximale recommandée est 600 mg.

Plusieurs facteurs peuvent entrer en ligne de compte pour déterminer la dose dont une personne a besoin : son poids, son état de santé et la prise d'autres médicaments. Si votre médecin a recommandé une dose autre que celles indiquées ici, ne modifiez pas la manière de prendre le médicament sans le consulter au préalable.

 



 

 

 

 

 


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12 avril 2011 2 12 /04 /avril /2011 07:46

Utilisation thérapeutique :

 

 

Douleurs chroniques stables, intenses résistantes aux autres antalgiques et d'origine cancéreuse (douleur nociceptive)

 

 

Définition de nociceptive:

 

 

Adjectif féminin singulier

 

(physiologie) relative à la nociception, perception des stimulations produisant la douleur

 

 

 

Le fentanyl est un analgésiqueopioïde, synthétisé pour la première fois en Belgique vers la fin des années 1950. Son potentiel analgésique vaut environ 80 fois celui de la morphine[2]. Il a été introduit dans la pratique médicale dans les années 1960 sous forme d'anesthésique intraveineux. Le fentanyl a une LD50 de 3,1 milligrammes par kilogramme chez les rats. La LD50 chez les humains est inconnue. Le fentanyl est dans la plupart des pays une substance réglementée assimilée aux stupéfiants.

 

 



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12 avril 2011 2 12 /04 /avril /2011 02:29

douleur-au-dos-copie-1.jpgJe peux vraiment dire que je suis entre bonnes mains même si mon médecin est en vacances en Floride.

 

La pharmacienne m'a contactée cet après-midi pour me communiquer qu'elle avait rejoint l'infirmière de la clinique où je suis suivie afin qu'elle puisse faxer à mon médecin en Floride la demande avec explication pour changer la dose de l'antidouleur prescrit il y a une semaine et demie.

 

Je ne sais pas si c'est le temps qui fait le travail, l'antidouleur agit un peu plus, ce n'est pas parfait car je dois prendre 6 comprimés par jour de mon autre antidouleur aux 4 heures.  Selon la pharmacienne la dose actuelle de l'antidouleur à effet prolongé n'est pas suffisante pour soulager pendant 24 heures. Elle pourrait sans problème  augmenter la dose de 100 mg à 300mg par jour.

 

Je suis rassurée d'être en aussi bonnes mains et sous peu, mon médecin enverra la nouvelle prescription par télécopieur.

 

Vive la technologie moderne!

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9 avril 2011 6 09 /04 /avril /2011 22:28

douleur-au-dos-copie-1.jpgOn me demande depuis quelques jours comment va ma douleur. Je n'écrivais pas d'article sur le sujet parce que j'attends des nouvelles du médecin, en fait la pharmacie qui communiquera avec mon médecin.  Faux, pas mon médecin mais son remplaçant car mon médecin est en vacances jusqu'au mois de mai. Depuis le diagnostic de mon cancer, mon médecin s'est absenté beaucoup pour des vacances, et j'ai appris mon cancer entre autre par un autre médecin qui assurait l'intérim jusqu'à son retour de vacances. Et c'est ainsi depuis 2009, mon médecin s'absente régulièrement.

 

Aucun changement au niveau de la douleur et ça me frustre tellement d'être si diminuée juste à marcher quelques minutes pour aller faire des courses, ou tout simplement me tenir debout devant le miroir de la salle de bain pour me maquiller. Je me demande pourquoi je veux rester en vie avec autant de douleur qui m'empêche de vaquer à des activités que j'aimais tant auparavant. M'asseoir devant la télévision est un supplice lorsque ma fesse est si douloureuse que je ne peux rester assise, dans quelle position  pensez-vous que je suis le plus confortable, au moment de ces douleurs il n'existe aucune position qui me soulage.

 

Pour les gens qui ne savent pas ou qui me voit pour une première fois, ne peuvent soupçonner que j'ai un cancer, car aucun signe n'est apparent du point de vue physique.  À l'exception que je me mets à boitiller lors de la marche si ça ecxcède 15 minutes.

 

J'attends toujours des nouvelles de la pharmacie qui communiquera avec le médecin afin de voir si on changera le médicament ou si on augmentera la dose tout simplement. Mon médicament n'est pas de la morphine mais il semblerait qu'il agisse de la même façon, et je dois avouer que c'est assez négatif dans mon cas car ça n'agit pas du tout.

 

Moi seule est en mesure de dire à quel point je souffre, et je peux vous affirmer que j'ai  une énorme tolérance à la douleur, mais cette douleur est tellement forte que c'est très difficile de la supporter. Les personnes qui me verront marcher se rendront compte par elle-même que c'est vraiment éprouvant.

 

Mot de la fin, ne pas désespérez , il y a une solution et on la trouvera, je garde mon courage.

 

 

Tantôt je revenais de faire des courses et il fait tellement bon à l'extérieur, la température est douce et il fait chaud et j'aurais aimé aller marcher avec ma petite Maggy (mon chien) mais j'ai du y remédier.

 

Ma vie sera beaucoup mieux lorsque je serai soulagée. Je ne désespère pas car j'aime la vie et je veux la savourer avec moins de douleur.

 

 

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Profil

  • bfrance
  • Je suis une femme de 60 ans, née au Québec le 7 décembre 1956. Je suis mariée et mère d'une fille de 37 ans. 

Mon cancer a été diagnostiqué en janvier 2009. Je continue d'aimer la vie, je la vois différemment maintenant mais je suis positive et je trouve toujours la vie belle.
  • Je suis une femme de 60 ans, née au Québec le 7 décembre 1956. Je suis mariée et mère d'une fille de 37 ans. Mon cancer a été diagnostiqué en janvier 2009. Je continue d'aimer la vie, je la vois différemment maintenant mais je suis positive et je trouve toujours la vie belle.

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