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27 mars 2013 3 27 /03 /mars /2013 18:30

Depuis quelques semaines mon bras droit est très engourdi de l'épaule jusqu'un peu avant le coude.  Il  picote, et lorsque je  mesure  la circonférence pour le comparer à mon autre bras, je constate qu'il y a de l'oedème.  La cicatrice faite à l'aisselle est importante et depuis la mastectomie et les ganglions qui ont été retirés, il a perdu de la sensibilité et lorsque je tente de me gratteravec le bout de mes doigts, je ne ressens aucun soulagement.  Il ne faut pas gratter, il y a risque d'empirer la situation je sais, mais je ne le fais pas. 

 

La sensation ressentie est comme si on comprimait mon bras très fort dans un étau. Je constate de la douleur dans l'autre épaule aussi mais c'est différent à mon bras gauche, ça ressemble étrangement à une bursite.  Lorsque je fais certains mouvements, ça déclenche une douleur qui m'oblige à ne plus bouger parce que ça élance dans tout le bras. 

 

Vivre avec de la douleur permanente ça devient difficile physiquement et moralement.  Comme si je n'avais pas assez de mes douleurs à la fesse et la cuisse droite, il faut que mon bras fasse des siennes.  J'ai remarqué que si j'utilise mon bras de façon régulière, comme par exemple pour lever mon chien de terre, transporter un sac, à la fin de la journée mon bras est engourdi au point que je doive le masser pour enrayer la douleur le plus possible et faire diminuer l'oedème.

  

Les engourdissements à mon bras, sont une séquelle du curage axillaire et je sais que ce sera toujours présent.  Heureusement que la technicienne en drainage lymphatique m'a inculquée la technique pour que je puisse me soulager lorsque c'est nécessaire.    Je dors toujours avec le bras sur un oreiller depuis ma mastectomie.  Il y a des personnes qui ne ressentent peu ou pas de douleur suite au curage. 

 

Ma crainte est de développer un lymphoedème et je ne veux absolument pas souffrir de cela.  J'ai vu des photos d'un lymphoedème, ça doit être très souffrant sans oublier tous les soins à apporter chaque jour pour ne pas que ça se complique davantage.  Il faut éviter de soulever des poids, je suis prudente et mon mari ne me laisse rien soulever de lourd.  Je ne porte pas de sacs lourds lors des achats de nourriture au supermarché, je suis tout de même prudente.  Je suis  plus sage depuis que la douleur est présente tous les jours et surtout en fin de journée.  Je prends soin de bien hydrater mon bras et toute la partie qui est douloureuse.  Il ne faut pas laisser la peau devenir sèche afin d'éviter que celle-ci fendille.  Ce serait propice à causer de l'infection et sûrement un lymphoedème.

 

Il est difficile de se limiter aux restrictions médicales suite au curage axillaire, ne plus pouvoir être en mesure de faire ce que l'on faisait auparavant est frustrant, et ça l'est pour moi.  Mais nous n'avons pas le choix, un lymphoedème peut apparaître rapidement après une chirurgie ou plusieurs années plus tard.  Il ne lance pas une invitation pour s'installer, il arrive sournoisement.  Il est aussi conseillé d'éviter de prendre des bains ou des douches trop chaudes, de prendre du soleil, cela peut être propice au lymphoedème de venir s'installer pour toujours.

 

 

Il faut demeurer prudente, bien écouter les consignes du chirurgien, et de tous les trucs qu'il nous a conseillés.

 

http://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/application/pdf/ganglion_synth.pdf

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13 mai 2012 7 13 /05 /mai /2012 16:38

Bonjour à vous toutes, je passe vous donner des nouvelles fraîches.  Ma santé va mieux côté fatigue, une grande amélioration s'est enfin produite et j'en suis heureuse car être fatiguée de la sorte devenait vraiment invalidant.

 

Par contre, un problème se règle et un autre fait son apparition.  Je vous ai parlé au début du mois de mai que j'avais un problème avec mon bras droit (côté opéré).  La cicatrice brûlait comme si elle venait d'être faite et par la suite la douleur a irradié mon avant-bras pour se terminer avec de l'oedème au poignet et à la main.

 

J'ai contacté l'infirmière de la clinique médicale où je suis suivie afin de lui demander si ce serait possible qu'elle me fasse voir mon médecin rapidement.   Ce n'était pas possible étant donné qu'il est surchargé de travail avec ses gardes aux urgences, ses visites en soins palliatifs et son horaire de bureau.  Après lui avoir expliqué mon problème au bras, elle m'a immédiatement et fortement suggérée de me rendre à l'urgence voir mon médecin qui était de garde.  Elle a tout de suite pensé à une thrombophlébite et il fallait que je consulte.

 

Je me suis rendue à l'urgence hier soir car ma main était encore plus enflée que les jours précédents.  Après l'examen physique de mon bras, de mon aisselle et de ma main, de l'auscultation des poumons afin d'éliminer une embolie pulmonaire, il a pensé immédiatement à une thrombophlébite et il a prescrit de l'innohep en injection sous-cutané que l'on administre sur l'abdomen.  Ce produit est un anti-thrombotique et un anticoagulant qui agit instantannément.  Le coumadin prend trop longtemps à agir lorsqu'on soupçonne une thrombophlébite.  On débute par les injections d'innhoep et dans mon cas ce sera 3 jours d'injection et mardi suite aux résultats du doppler prescrit par mon médecin sera en mesure de savoir s'il s'agit bien d'une thrombophlébite.  Si c'est le cas, je prendrai par la suite du coumadin.  L'innhoep ayant fait son travail et fait passer le caillot, le coumadin agira par la suite en prévention d'un autre caillot.

 

L'injection n'est pas douloureuse, le seul effet secondaire s'y reliant est la démangeaison qui se produit immédiatement.  Il ne faut pas se gratter si non cela provoquerait d'endommager les petits vaisseaux sanguins et mon abdomen serait recouvert d'écchymose.  J'ai donc appliqué une débarbouillette passée sous l'eau froide pour enrayer la démangeaison qui s'est estompée quelques heures plus tard.

 

Mardi, mon médecin me fait passer un doppler veineux afin de vérifier si une veine ne serait pas bloquée et qui serait la cause de cet oedème.  Cet examen est totalement indolore et aidera mon médecin à rendre son diagnostic. 

 

Il pense que c'est une thrombophlébite qui serait reliée à un lymphoedème.  On sait que les lymphoedèmes peuvent causer une thrombophlébite et ce même quelques années voir même plusieurs années après la chirurgie.

 

 

Comme je me sers de mon bras gauche beaucoup plus souvent maintenant afin de ménager mon bras droit, j'ai développé une épicondylite.  J'ai demandé si cela m'aiderait de recevoir une infiltration au coude et sans hésitation il m'en a fait une.  Je dois dire que par la suite mon coude était sensible, mais je demeure confiante que ça m'aidera à avoir un coude beaucoup moins douloureux.

 

Comme vous pouvez le constater ça pourrait aller mieux, je demeure confiante que ce ne soit pas trop grave et dorénavant je prendrai bien soin de mon bras droit car je ne veux pas me retrouver avec un lymphoedème (gros bras) qui me désemparerait.  Je crois que ce serait pire que de ne plus avoir de sein de me retrouver avec un gros bras et d'être obligée de faire des drainages lymphatiques régulièrement suivi d'enveloppement.

 

Je vais prier les petits anges de guérison afin qu'il me protège, il serait plus que temps.

 

http://sante.canoe.ca/drug_info_details.asp?brand_name_id=1470&rot=4

 

 

http://sante.canoe.ca/drug_info_details.asp?channel_id=0&relation_id=0&brand_name_id=741&page_no=2#Warnings

 

 

http://www.epicondylite.com/

 

 

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2 mai 2012 3 02 /05 /mai /2012 16:24

Comme si je n'avais pas assez de la fatigue et de la douleur, me voici avec un autre petit problème douloureux.  Depuis un certain temps mon aisselle est douloureuse, ma cicatrice me fait mal et brûle comme si la chirurgie était récente.  J'essaie de me servir de mon autre bras pour éviter justement des douleurs et complications afin de ne pas faire un lymphoedème.

 

Mon avant-bras est très douloureux, tellement que je ne supporte même pas de faire glisser un vêtement sur ma peau.  Je pensais que ça pouvait être une cellulite, ce que nous voyons assez fréquemment dans les cas de l'exérèse des ganglions sentinelles.  J'ai fait examiner mon bras par mon oncologue et il n'a rien trouvé de particulier.  Je ne peux même plus étirer mon bras, la douleur irradie jusqu'à mon poignet et la peau est indurée.  Je m'explique mal tout ça et si la douleur et le léger oedème ne disparaisse pas, je consulterai mon médecin de famille.

 

Comme plusieurs d'entre nous qui avons eu un curage axillaire, il est possible que cela puisse provoquer ce genre d'infection et il ne faut pas négliger ce problème et plutôt consulter pour bien évaluer la situation.  Après un curage nous sommes sujettes à des infections suite à des éraflures sur la peau et c'est la raison pour laquelle il faut demeurer prudente lorsqu'on manipule des objets qui pourraient nous blesser.

 

La cellulite se traite généralement avec un antibiotique et nécessite parfois un traitement intraveineux et une hospitalisation dans les cas les plus graves.

 

 

http://sante.canoe.ca/condition_info_details.asp?channel_id=0&relation_id=0&disease_id=145&page_no=2#Treatment

 

 

En évitant de me servir de mon bras le plus possible j'ai développé une épicondylite à mon autre bras.  Je verrai aussi à faire vérifier ce problème par  mon médecin et probablement qu'une infiltration à la cortisone me soulagera vraiment bien.  Comme toutes douleurs, il faut mettre le membre au repos.   Que m'arrivera t-il si je dois mettre mes deux bras au repos?  Le repos total jusqu'à la disparition du problème? 

 

http://www.epicondylite.com/

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10 mars 2012 6 10 /03 /mars /2012 02:57

diagnostic: Papillomatosis Cutis Carcinoides Gottron-Eisenlohr, Prurigo Nodularis Hyde, LymphoedèmeVous avez bien lu le titre, "un lymphoedème congénital" existe, je n'étais pas au courant de ce problème.

 

Je sais que le lymphoedème peut survenir suite à une chirurgie,  mais jamais je n'aurais pensé qu'on pouvait en être atteinte à la naissance.  Peut-être que vous étiez au courant que ça existait, mais pour ce qui est de moi je l'ai découvert en regardant mon émission  "Les Docteurs", une émission, vous vous en doutez bien que j'aime particulièrement suite aux quelques articles que j'ai publié provenant de cette émission.

 

La femme que vous verrez dans la vidéo en est atteinte depuis sa naissance aux 2 pieds ainsi qu'aux 2 chevilles.  Je laisse place à la vidéo pour la suite.

 

Il faut avancer la vidéo à 21:21  pour visionner le tout. 

 

 

 

http://www.radio-canada.ca/emissions/les_docteurs/2011-2012/document.asp?idDoc=206246

 

 

Lien sur le lymphoedème à lire:

 

http://www.avml.fr/manifcliniques.html

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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 04:08

Le drainage lymphatique, nous avons sans doute toutes entendues parler de cela car certaines d'entre nous y ont eu recours suite à un lymphoedème.  J'y ai eu recours et ça m'a beaucoup aidée. 

 

Suite à la chirurgie lors d'un cancer du sein, il est fréquent d'avoir recours au drainage lymphatique.

 

C'est d'ailleurs très relaxant de recevoir un drainage lymphatique et ça calme la douleur causée par l'oedème également  qui diminue après un drainage.  La spécialiste en drainage lymphatique mesure le bras à l'aide d'un galon à mesurer avant et après le drainage et c'est concluant le bienfait que cela fait, le bras est moins gros après l'avoir mesuré suite au drainage.

 

 

Un lien pour écouter ce que les docteurs en disent:   La vidéo se retrouve à 26:19 minutes.

 

http://www.radio-canada.ca/emissions/les_docteurs/2011-2012/document.asp?idDoc=200342&ref=icoCommentaire#commentaires

 

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13 février 2011 7 13 /02 /février /2011 18:27

Cancer du sein: lever des poids réduirait le risque de lymphoedème au brasJe viens de découvrir un article qui m'étonne vraiment. J'ai toujours été avertie de ne pas forcer avec le bras du côté opéré afin d'éviter un lymphoedème et maintenant cet article dit le contraire.  Ça devient vraiment difficile de se faire une opinion fiable.  Comment se fait il que si je lève mon chien qui pèse 12 lbs (6 kilos) j'ai mal au bras pour plusieurs jours, qu'il est engourdi en permanence.  J'avoue que je ne sais plus quoi penser, je ne sais plus à qui me fier et vous?

   

 

7 janvier 2011 – Les femmes traitées pour un cancer du sein courraient de 35 % à 70 % moins de risque d’être atteintes d’un lymphoedème aux bras lorsqu’elles s’entraînent à soulever progressivement des poids.

Depuis longtemps, on recommande aux femmes traitées pour un cancer du sein d’éviter de lever des charges excédant 5 livres (2,27 kg), afin de prévenir le lymphoedème – provoqué par l’accumulation de lymphe dans l’un des bras.

 

Or, une étude menée à Philadelphie aux États-Unis, auprès de 154 femmes traitées pour un cancer du sein, démontre que non seulement soulever des poids n’accentue pas le risque de lymphoedème, mais cela le réduirait de façon importante.



Le lymphoedème est une maladie chronique qui cause de l’enflure aux jambes ou aux bras chez les personnes qui ont été traitées pour un cancer. Il peut se manifester lorsque des ganglions lymphatiques ont été éliminés ou évidés lors des traitements – que ce soit par chirurgie ou radiothérapie.

 

 

Augmentation progressive de la charge  

La moitié des participantes à l’étude se sont entraînées dans un gymnase pendant 1 an. Au cours des 13 premières semaines, un entraîneur leur montrait comment effectuer convenablement les séries d’exercices. Par la suite, elles s’exerçaient de façon autonome.

 

Au début, les poids à soulever n’excédaient pas 2 livres (1 kg). Puis, on augmentait progressivement la charge. Il est à noter que les femmes portaient toutes un vêtement de compression au bras lors des exercices.

Résultats : 17 % des femmes n’ayant pas entrepris le programme de levée de poids ont eu un lymphoedème, contre 11 % chez celles qui ont suivi le programme.

 

Et parmi celles qui avaient subi l’ablation de plus de 5 ganglions, le lymphoedème est apparu chez seulement 7 % des femmes qui ont régulièrement levé des poids, comparativement à 22 % chez celles qui ne l’ont pas fait.

 

Ces résultats sont importants puisque, d’après les auteurs de l’étude, jusqu’à 47 % des femmes qui subissent une chirurgie (mastectomie partielle ou totale) peuvent être atteintes d’un lymphoedème.
Traitement pas encore reconnu au Québec

Le lymphoedème est une maladie pour laquelle il existe peu de traitements efficaces.



Toutefois, une étude canadienne publiée en 2006 démontrait que la thérapie décongestive combinée (TDC) permettait de réduire de moitié le volume du bras des personnes atteintes d’un lymphoedème, après qu’elles aient été traitées pour un cancer du sein.



La TDC combine le drainage lymphatique manuel, ainsi que le port d’un vêtement de compression.



Certaines cliniques offrent la TDC, mais le coût de celle-ci n’est par pris en charge par le régime québécois de la santé, contrairement aux autres provinces canadiennes.

 

C'est bien dommage que ce traitement ne soit pas reconnu au Québec parce que c'est très coûteux et c'est un suivi à très long terme. Il faudrait faciliter ces thérapies aux femmes qui en ont grand besoin et ce sans que ça coûte un sous et que les assurances prennent en charge les traitements.  Le cancer est trop répandu pour qu'on ne se penche pas sur la question très sérieusement.

 

 

 

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30 novembre 2010 2 30 /11 /novembre /2010 17:51

Lors de mes 2 voyages précédents en avion j'avais porté le manchon car on me diagnostiquait un lymphoedème.  Ce qui n'est pas le cas après que j'aie rencontré la généticienne-oncologue en avril 2010.

 

Un lymphoedème est diagnostiqué lorsque le bras est enflé de la main à l'épaule, ce qui n'est pas mon cas.  L'oedème que j'ai se situe à l'aisselle et l'épaule et il est causé par la chirurgie qui a occasionné des dommages à mes muscles et nerfs qui pour certains ont été coupés lors de la chirurgie. C'est irréparable et j'en subirai les conséquences toute ma vie.

 

Je me questionne à savoir si je dois porter le manchon par sécurité lors du vol. Je vais l'apporter dans mes bagages à mains par sécurité et je verrai si je dois l'utiliser ou pas tout dépendant de la douleur à mon bras le jour du voyage.  Lors de mes 2 voyages précédents, je n'ai remarqué aucune augmentation de l'oedème ce qui est rassurant.

 

Ma question demeure:  Doit-on porter le manchon après une chirurgie (curage axillaire) lymphoedème ou pas?

 

 

 

 

http://www.aktl.org/actualite_articles_view.php?id=7

 

 

http://orthopedie.proteor.fr/produit,14-vetements-de-contention,56-manchon-et-bas-pour-lymphoedeme.php

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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1 août 2010 7 01 /08 /août /2010 02:56
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26 mai 2010 3 26 /05 /mai /2010 06:46

Aujourd'hui avec cette belle météo chaude, j'ai passé le pm dans la piscine et sur le patio.

 

Malgré cette chaleur accablante, il y avait des mouches noires, ces petites mouches qui nous dévorent sont vraiment désagréables. Elles piquent vraiment beaucoup, elles sucent notre sang pour nous laisser des traces rouges galeuses sur la peau. Et ça prend plusieurs jours avant que la trace de la piqûre disparaisse.

 

Malgré l'insecticide appliqué sur mon bras,  j'ai remarqué que j'avais quelques piqûres d'insectes. Déjà que mon bras est en permanence engourdi et gonflé au niveau de l'épaule, je me questionne à savoir si ces piqûres auront des conséquences fâcheuses pour me causer un lymphoedème.

 

J'ai désinfecté les piqûres et je souhaite que ça n'aille pas plus loin en conséquence. L'important est d'avoir nettoyé et désinfecté les piqûres afin d'éviter l'infection. Une hydratation est aussi importante quotidiennement afin d'éviter à la peau de fendiller.

 

Je ne suis tout de même pas pour m'empêcher d'aller à l'extérieur sous prétexte qu'il y a des insectes, parce que je n'irais pas de l'été. Nous avons tellement de sortes d'insectes piqueurs en été, il faut simplement se protéger.

  • Mouches noires
  • Maringouins
  • Brûlots (il est tellement petit qu'on ne le voit pas à l'oeil nu)
  • Mouches à chevreuils

J'allume des trucs à la citronnelle, des spirales (encens) qui repoussent les moustiques et j'applique sur ma peau de la citronelle. Il y a toujours moyen de profiter de la belle saison sans trop se faire incommoder par ces intrus. Il faut juste redoubler de prudence en étant sujette à développer un lymphoedème. Il faut éviter de porter des parfums, des crèmes parfumées pour éviter de se faire piquer. Éviter de porter des couleurs foncées, ce qui attire les insectes piqueurs.

 

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23 avril 2010 5 23 /04 /avril /2010 04:47

En allant voir la généticienne, je lui ai posé la question à savoir qu'est ce que c'était réellement un lymphoedème.

 

Je lui ai décrit la douleur ressentie  et montré l'oedème sous mon aisselle et derrière près de l'omoplate. Imaginez-vous que je n'ai pas de lymphoedème, car le lymphoedème se constate par une enflure de la main ce qui n'est pas mon cas.

 

Je me suis tapée des drainages lymphatiques, je me suis achetée un manchon absolument pour rien, il me causait plus de douleur que de bien-être.

 

On questionne notre médecin et on nous diagnostique un lymphoedème, on prend toutes les précautions nécessaires pour apprendre presque un an plus tard que ce n'était pas cela, mais bon dieu à qui faire confiance?

 

Un lymphoedème n'est pas sensé causé de la douleur, c'est pourquoi je me questionnais et que j'ai posé la question à cette généticienne-oncologue et chirurgienne. La douleur que je ressens est reliée à la chirurgie, des nerfs ont été coupés ainsi que des muscles et cette douleur sera permanente. Elle a été sincère et je sais à quoi m'attendre.  C'est une douleur neuropathique, et elle m'a suggérée de prendre de l'amitriptyline (Élavil) à raison de 10mg par jour. Ce médicament fait en sorte comme elle me l'expliquait de dire aux petits nerfs douloureux:  calmez-vous et relaxez

 

Lorsque l'on m'a diagnostiquée fibromyalgique en 1990, on m'a suggérée l'amitriptyline (Élavil) qui fait parti de la famille des antidépresseurs.

 

On me le prescrivait à raison de 10mg par jour. J'ai refusé d'en prendre car j'étais contre les antidépresseurs.  J'étais même fâchée car j'avais pris la peine de demander à mon médecin si c'était un antidépresseur et il m'avait répondu que non. Une fois arrivée à la pharmacie avec ma prescription j'ai posé la question à nouveau au pharmacien et il m'a confirmé que c'était bel et bien un antidépresseur. Je sais maintenant qu'à faible dose (10mg) il n'agit pas comme antidépresseur mais contre la douleur.  Je faisais confiance à mon médecin de cette époque et il ne m'a pas dit la vérité, et je le déplore.

 

En 2003, suite à une résonnance magnétique du cerveau et de la colonne cervicale, examen prescrit par un neurologue que j'avais consulté pour des migraines, il m'a prescrit également de l'amitriptyline pour traiter la migraine. J'ai pris le médicament et je constatais que mes migraines s'espaçaient mais par contre une hausse de mon poids a été remarquée, j'avais pris 5 kilos en peu de temps. L'amitriptyline augmente l'appétit, je sais il faut surveiller ce que l'on mange mais bon j'ai cessé le médicament et je n'en ai jamais repris. J'ai revu le neurologue qui m'a prescrit un autre médicament très efficace pour la migraine que l'on prend au besoin seulement.

 

Est-ce que je prendrai Élavil pour ma douleur neuropathique ou si je continue ainsi en tolérant cette douleur?

 

Tant qu'elle ne me handicapera pas plus que cela je vais attendre, car on devient dépendant de ces médicaments et des effets secondaires sont toujours possibles. Lorsque ça me fait très mal je prend un comprimé de Flexeril, (relaxant musculaire) très efficace qui m'a été prescrit au moment de mon diagnostic de fibromyalgie.

 

Par contre le Flexeril cause de la somnolence diurne (somnolence de jour) ce qui n'était  pas très commode lorsque je travaillais. Il faut faire des choix et ce n'est pas toujours évident, il faut questionner le médecin et le pharmacien afin de voir quel traitement est le mieux approprié pour nous.

 

 

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  • bfrance
  • Je suis une femme de 60 ans, née au Québec le 7 décembre 1956. Je suis mariée et mère d'une fille de 37 ans. 

Mon cancer a été diagnostiqué en janvier 2009. Je continue d'aimer la vie, je la vois différemment maintenant mais je suis positive et je trouve toujours la vie belle.
  • Je suis une femme de 60 ans, née au Québec le 7 décembre 1956. Je suis mariée et mère d'une fille de 37 ans. Mon cancer a été diagnostiqué en janvier 2009. Je continue d'aimer la vie, je la vois différemment maintenant mais je suis positive et je trouve toujours la vie belle.

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