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14 février 2012 2 14 /02 /février /2012 08:31

camion-d-ondes-positives.jpg 

 

Hommage à Joanna Comtois

 

Peu importe les évènements de la vie, il arrive un moment où nous avons besoin de positif.  Plusieurs personnes passent sur le blog, des femmes, des hommes que nous ne connaissons pas et qui ont sûrement besoin de positif dans leur vie parce qu'elles vivent peut-être des mauvais moments différents peut-être  des nôtres ou similaires. À vous qui passez, prenez le temps de vous arrêter, vous ne le regretterez pas.  Nous avons chacune à notre façon un message d'espoir à partager.

  

Comme nous, qui avons appris un jour que Monsieur Cancer avait décidé de nous visiter sans nous avertir au préalable, un visiteur qui ne s'annonce pas comme devrait le faire la visite par politesse, il a décidé de s'établir dans mon corps, dans le votre pour s'emparer de notre santé.  Il est arrivé comme ça sans prévenir, nous ne savons pas quand et s'il décidera de nous quitter. 

 

Peu importe que nous soyons riches ou pauvres, adultes ou enfants, Monsieur Cancer ne nous a pas demandé notre avis, ni la permission et nous avons dû accepter difficilement qu'il s'approprie de notre corps, il est arrivé comme un intrus.

  

Personne ne réagit de la même façon face à cet intrus et nous n'avons pas énormément de choix que d'y faire face.  Soit qu'on décide de se battre, soit qu'on baisse les bras, à nous de choisir.  J'ai choisi de me battre.

  

J'ai regardé une émission ce soir qui raconte l'histoire d'une jeune adolescente qui s'est battue très fort jusqu'à la fin, Joanna Comtois.  Elle est décédée il y aura un an dans la nuit du  15 au 16 février 2011.  Lorsqu'elle s'exprimait ce n'était pas une enfant, elle était adulte dans ses propos et elle savait ce qu'elle voulait:   GUÉRIR.

 

J'ai décidé de partager avec vous l'histoire de Joanna, c'est mon message d'amour pour la Saint-Valentin

  

  On disait d'elle, cette petite fille si courageuse et pleine de vie:

 

 

Joanna Comtois, une petite fille extraordinaire! "Qu'elle nous apprenait à vivre, alors qu'elle apprenait à mourir".  

 

Cette phrase m'a profondément touchée et  fait réfléchir. Les enfants sont un bel exemple afin de nous donner la force de vouloir se battre et surtout de vivre.  Joanna a fondé la fondation Espoir.  Elle savait qu'elle ne  guérirait jamais, on le lui avait dit.  Elle espérait vivre avec la recherche et c'est pour cette raison qu'elle a fondé sa propre fondation Espoir.  Elle ne misait que sur ça maintenant,  la recherche afin qu'on trouve le traitement pour la guérir. (J'ai glissé quelques phrases en mauve, c'était la couleur préférée de Joanna).

 

 

Son père s'est suicidé  peu après que Joanna ait fait sa rechute.  Il n'était plus en mesure de vivre le chagrin de la maladie de Joanna.   Le chagrin était trop lourd, elle avait besoin de son papa.  Elle ne se battait pas pour elle, elle se battait pour sa mère, pour ses frères. Elle avait très peur de mourir et jusqu'à la fin, elle ne voulait pas mourir, elle disait avoir encore trop de chose à accomplir.  Elle est partie en douceur dans les bras de sa maman.

 

Certains vivent, d'autres pas.  N'oubliez jamais  qu'il faut toujours se battre et garder espoir.  Je vous offre et je m'offre ce camion rempli d'ondes positives.  Ne perdez jamais espoir peu importe le diagnostic et le pronostic.

 

http://www.canalvie.com/webtele/lundi-13-fevrier-23h-18582/

 

 

http://fr.canoe.ca/divertissement/cinema/nouvelles/2012/02/08/19356246-qmi.html

 

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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 00:25

Combien d'entre vous ont eu un stérilet comme méthode contraceptive au courant de leur vie? Jusqu'à mes 21 ans j'ai eu un stérilet parce que la pilule contraceptive ne me convenait plus me provoquant de terribles migraines et un important gain de poids. 

 

Mon premier stérilet fut en forme de  T  et le plus douloureux pour moi.  Un an plus tard on le changeait pour un stérilet  appelé CU 7, beaucoup moins gros et moins douloureux dans mon cas.

 

Est-ce le fait qu'il ait été plus petit, je suis tombée enceinte avec ce dernier.  Il s'est déplacé et il s'est retrouvé dans le col de l'utérus.  Le médecin a décidé de le retirer après avoir consulté 2 confrères gynécologues.

 

Après mon accouchement mon médecin m'a prescrit à nouveau les contraceptifs oraux de moindre force afin que les migraines ne réapparaissent pas.  J'ai continué à prendre les contraceptifs oraux  jusqu'à l'âge de 25 ans où j'ai pris la décision de me faire ligaturer les trompes.

 

À l'âge de 40 ans je subissais l'hystérectomie, alors évidemment le risque d'avoir un cancer de l'utérus était nul pour moi. Une délivrance pour moi de ne plus avoir mon utérus qui m'a fait tant souffrir jusqu'à ce que je décide de subir l'hystérectomie.

 

Nous savons que le cancer de l'utérus est de plus en plus présent et de nombreuses jeunes femmes dans la vingtaine en sont atteintes.  Il ne faut donc pas négliger le Pap Test qui n'est pas douloureux et qui peux vous sauver la vie.

 

Si le stérilet diminue le cancer de l'utérus, c'est une excellente nouvelle!

 

 http://www.guerir.org/magazine/le-sterilet-diminue-le-risque-de-cancer-du-col-de-l2019uterus

 

 

 http://fr.wikipedia.org/wiki/Dispositif_intra-ut%C3%A9rin

 

 

 

 

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23 décembre 2011 5 23 /12 /décembre /2011 10:15

Cette question peut paraître curieuse dans la mesure où la pilule concerne exclusivement les femmes, tandis que le cancer de la prostate ne peut concerner que les hommes. La triste réalité est que les tonnes de comprimés de pilules contraceptives absorbées quotidiennement par les femmes, se retrouvent dans la nature, via leur excrétion urinaire.

 

  

C’est un fait, le traitement des eaux actuel ne permet pas d’éliminer certaines traces de médicaments, dont l’éthinylestradiol. Résultat, il existe dans notre environnement, et notamment dans notre eau de boisson, des traces d’estrogènes provenant de la contraception hormonale. C’est ainsi que les hommes se retrouvent exposés malgré eux à de faibles doses d’hormones féminines.

 

Or le cancer de la prostate est dit hormonaux-dépendant, c’est-à-dire influencé par les hormones sexuelles. On peut donc supposer que cette exposition aux œstrogènes via l’environnement contribue à expliquer l’augmentation du nombre de cas et la mortalité par cancer de la prostate.

 

À l’appui de cette explication, cette étude canadienne montrant que les pays où les nombres de cancers de la prostate et de décès liés à ce type de cancer sont aussi les pays où le recours à la contraception orale est le plus élevé. Aucune relation n’est observée avec les autres modes de contraception, comme le préservatif, ou le stérilet par exemple.

 

En conclusion, la progression du cancer de la prostate dépendrait de l’usage de la pilule hormonale et de l’exposition des hommes à celle-ci via l’environnement.

 

En pratique, nos techniques d’épuration de l’eau doivent progresser rapidement afin de débarrasser efficacement notre eau de boisson des résidus de médicaments et notamment des résidus hormonaux.

 

Que penser de cette étude, y croyez-vous?  Dans un certain sens je trouve que oui cela  peut être discutable et nous chercherons toujours les possibilités afin de déterminer pourquoi certains cancers existent.  Tout comme le cancer du sein hormonaux-dépentant, le cancer de la prostate l'est aussi et cela peut être relié je le croirais mais il  plane un doute dans ma tête parce qu'il ne faut pas jeter le blâme aux femmes forcément.



http://www.cancer.be/index.php?option=com_content&task=view&id=3687&Itemid=3859

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Profil

  • bfrance
  • Je suis une femme de 60 ans, née au Québec le 7 décembre 1956. Je suis mariée et mère d'une fille de 37 ans. 

Mon cancer a été diagnostiqué en janvier 2009. Je continue d'aimer la vie, je la vois différemment maintenant mais je suis positive et je trouve toujours la vie belle.
  • Je suis une femme de 60 ans, née au Québec le 7 décembre 1956. Je suis mariée et mère d'une fille de 37 ans. Mon cancer a été diagnostiqué en janvier 2009. Je continue d'aimer la vie, je la vois différemment maintenant mais je suis positive et je trouve toujours la vie belle.

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