Où en sont les recherches? Nous sommes en 2009 et encore trop de femmes décèdent d'un cancer du sein. Malgré que le cancer ne ce soit pas répandu ailleurs, beaucoup de récidives sont rescensées. Comment explique t-ont cela?
Nous passons par la détresse, la peine, la colère, la chirurgie, la chimiothérapie, la radiothérapie, et nous faisons tout pour nous en sortir et voilà que quelques années plus tard, beaucoup récidivent. C'est décourageant vraiment.
Il n'y a rien de certain dans la guérison, il y a rémission et même après des années de rémissions ça peut revenir.
On peut prévenir le cancer de l'utérus avec le PAP Test, alors pourquoi pas des tests pour prévenir par un autre examen que la mammographie qui n'est pas efficace à 100%.
Bonne nouvelle j'ai par mes rechreches trouvé un article sur la recherche et une étude développant des techniques par IRM (résonnance magnétique) qui pourrait devenir des techniques simples d'emplois et sans douleur pour les femmes qui auraient un cancer ayant atteint d'autres parties de l'organisme.
Une recherche examinant les bienfaits de la chimiothérapie métronomique, une nouvelle approche où les patients reçoivent des doses de médicaments anticancéreux sur une période prolongée sans interruption. Le but de cette recherche est d'améliorer l'efficacité de ces médicaments en évitant les effets secondaires. Je vois que la recherche ne cesse pas et c'est extrêmement encourageant. Peut-être pourrons-nous en bénéficier, nous le souhaitons toutes.
Cancer du sein avancé : les promesses d’un nouveau traitement
En associant deux produits anti-tumoraux déjà connus, une équipe espagnole est parvenue à des résultats encourageants pour le traitement du cancer du sein avancé.
Chaque année en France, 11.000 femmes meurent encore d’un cancer du sein et 50.000 nouveaux cas sont déclarés. Malgré des résultats spectaculaires au niveau thérapeutique depuis les années 1990 cette maladie reste la principale cause de mortalité par cancer chez la femme.
Des avancées thérapeutiques significatives continuent pourtant de se faire jour. C’est ce que montrent par exemple, les résultats d’une étude de phase II conduite à Barcelone en Espagne, et basée sur l’association de deux anticancéreux par voie orale. Chez 229 patientes atteintes d’un cancer du sein localement avancé ou métastatique, l’équipe du Pr Jose Baselga à l’Institut du cancer de Vall d’Hebron, a évalué le sorafénib (Nexavar de son nom commercial) – déjà reconnu dans le traitement des cancers du rein et du foie – en association avec la capécitabine (Xeloda).
Réalisé en double aveugle et contre placebo, ce travail montre que cette association pourrait constituer une option thérapeutique de choix. « Nos résultats (en termes d’amélioration de la survie) sont un signal positif quant au potentiel de cette association, explique le Pr Baselga. La tolérance a été conforme aux attentes, et aucune toxicité nouvelle ou inattendue n’est apparue. » Encore un peu de patience toutefois, ce duo doit désormais être évalué sur de plus larges cohortes avant d’envisager un recours à grande échelle.
Dans notre bilan de santé annuel certains médecins font passer les analyses comme les CEA15-3, si on me les avait passées chaque année on aurait pu dépister qu'un cancer était en train de me ronger. Prenez-en note chers médecins afin de donner toutes les chances possibles à vos patientes.
Il faut espérer que la recherche progresse et de pouvoir en profiter mais en attendant continuons de nous battre avec les armes que nous possédons, et surtout on garde le positif en nous. Un combat pour la vie.