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14 mai 2011 6 14 /05 /mai /2011 21:44

tumorectomieEn naviguant sur le web, je suis tombée sur un article au sujet du  curage axillaire. Les 2 bras m'ont tombé.  Le curage axillaire ne sert qu'à grader le cancer entre 1 et 5, il ne traite pas le cancer et ne le guérit aucunement.Que de rage en lisant cela. Ce curage a handicapé mon bras à vie.

 

Lorsque j'ai rencontré la chirurgienne pour la première fois, nous avions discuté si on m'enlevait seulement la tumeur (tumorectomie) ou si on pratiquait une masctectomie radicale.  J'avais choisi de garder mon sein après avoir posé plusieurs questions sur les dangers de récidive. On n'enlève de moins en moins le sein m'avait t'elle dit et les chances de récidives étaient de 50% en gardant mon sein ou pas.

 

Suite à ce que je viens de lire, je me suis posée la question suivante:  Ne pourrais-t'on pas procéder autrement pour grader le cancer? Je ne peux croire qu'avec la biopsie pratiquée, que ce ne soit pas possible de grader le cancer.  Certaines femmes ont la chance de ne pas avoir de séquelles par la suite au bras, ce qui n'a pas été mon cas. Mon bras sera en permanence engourdi et douloureux. Le curage axillaire a été pénible pour moi, rééducation pour qu'il retrouve son amplitude d'auparavant. La cicatrice est tout de même importante. Je n'aurais jamais pensé que l'on doive inciser si grand pour retirer une chaîne de ganglions.

 

Ma soeur qui est infirmière me parlait de ce qui allait se produire lors de la chirurgie et je me souviens que je suis restée surprise lorsqu'elle m'a dit que j'aurais par la suite une sensation bizarre à mon bras. Ça n'a fait qu'augmenter mon stress.  Je me disais:  Il y a bien assez de subir l'ablation du sein sans en plus, avoir des douleurs, des engourdissement et de l'oedème à l'aisselle.

 

Les médecins ne nous expliquent pas trop ce qui arrivera lors d'une chirurgie si importante et nous devrions être en droit de le savoir.  Jamais elle ne m'a parlée que ce bras ne serait plus jamais le même et si cela avait été le cas,  je lui aurais demandé si ce n'était pas possible de remédier à ce curage. On nous parle du strict minimum et nous ne sommes pas au courant des suites désagréables.

 

Nous sommes des patientes qui ont un cancer et nous devons nous soumettre totalement au chirurgien, leur faire confiance sans en connaître davantage sur ce qui nous attend.  Nous espérons une seule chose:  Une rémission et la guérison.

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12 mai 2011 4 12 /05 /mai /2011 03:45
 

 

 

À 44 ans, Martine Carret apprend qu’elle est atteinte d’un cancer du

sein agressif de nature héréditaire : celui-là même qui a emporté sa

mère, sa grand-mère et deux de ses proches parentes.

S’engage alors une bataille contre l’hydre qui la tenaille. Mais elle

n’est pas seule, car ce sport de combat se joue en équipe : staff

médical, compagnon, famille, amis, entourage professionnel…

Surmontant ses peurs, chacun doit inventer sa manière d’être utile,

tout en restant à l’écoute de la personne que la maladie

métamorphose.

« Si vous voulez m’aider, conjuguez les verbes au

futur ! »

Cancer, même pas peur

est aussi un cri de révolte. Alors que bien

des familles savent depuis longtemps, parfois depuis plusieurs

générations, qu’il existe un facteur héréditaire de prédisposition,

encore trop peu de médecins connaissent les avancées récentes

dans le domaine.

Pour quelques spécialistes qui connaissent ces cancers

héréditaires, combien de médecins les ignorent encore ? Or, la

surveillance est cruciale et les méthodes de dépistage efficaces existent. Soigné à un stade

précoce, un cancer du sein, même agressif et d’origine héréditaire, peut être guéri.

Cet ouvrage raconte le combat d’une femme qui affronte sa maladie en toute conscience, décidée

à vivre normalement, malgré les traitements. Jusqu’à pratiquer la plongée sous-marine entre deux

chimiothérapies. Une femme qui lutte également pour les membres de sa famille et contre

l’ignorance.

Au-delà du parcours d’une femme malade

, Cancer ? même pas peur !
est une enquête de

journaliste, une enquête destinée à éveiller les consciences… et un témoignage de

courage et d’espoir.

Journaliste et reporter, Martine Carret découvre la plongée sous-marine en Australie

 

 

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11 mai 2011 3 11 /05 /mai /2011 05:31

J'ai reçu un email via le lien contact sur le blog de Madame Martine Carret auteur du livre :6280-1-.jpg

 

"CANCER? MÊME PAS PEUR!"

 

Au-delà du parcours d'une femme malade, Cancer ? Même pas peur ! est une enquête de
journaliste, une enquête destinée à éveiller les consciences. et un témoignage de
courage et d'espoir.

 

 

Son livre est également disponible au Canada pour celles que ça intéresse.  Je suis certaine que son livre est touchant et rempli d'espoir.  Nous avons toutes une histoire différente à raconter sur le cancer que nous venons d'apprendre, celui que nous avons eu, celles qui se battent encore et celles qui sont en rémission.

 

Je remarque que toutes les histoires sur le cancer du sein que j'ai lu jusqu'à présent sont toutes remplies d'espoir et de courage. Nous vivons cette épreuve différemment, mais chose certaine, nous avons un courage étonnant et c'est ce courage qui nous aide à vouloir rester en vie.

 

Cette dame, Martine Carret me fera parvenir des fichiers pdf et jpg que je publierai sur le blog.

 

link

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4 mai 2011 3 04 /05 /mai /2011 06:39

Il y a toujours un examen, une analyse sanguine, une mammographie, une échographie pour nous remettre toujours en plein visage que nous avons eu un cancer ou que nous l'avons. Et ce sera ainsi pour la vie, même les personnes en rémission depuis plusieurs années doivent subir des examens pour vérifier si tout est sous contrôle.

 

C'est pourtant un passage de notre vie que nous aimerions oublier et c'est impossible. Dans moins de 2 semaines, je dois passer comme à tous les 4 mois les analyses sanguines pour ma visite avec l'oncologue. Je suis toujours anxieuse à cette période, toujours la peur de recevoir de mauvaises nouvelles et il en est ainsi pour vous j'en suis certaine aussi.  Cette épée de Damoclès est pénible à porter, nous n'avons pas le choix de subir ces examens.

 

J'aimerais pouvoir oublier, ne plus angoisser. C'est un stress continuel et il est impossible de l'éviter. Le stress est nocif pour tout le monde et pour nous qui avons un cancer ce n'est pas recommandé d'en vivre. Tous ces examens provoquent ce stress et il faut apprendre à le gérer du mieux possible.

 

Lorsque l'oncologue me dit que tout va bien et que nous nous revoyons dans 4 mois, je sors de son bureau souriante et heureuse. J'aimerais qu'il accepte de me voir aux 6 mois mais je ne crois pas que ce sera possible, je lui en ai déjà parlé.  Mais bon au début c'était une fois par mois, par la suite aux 3 mois et à ma demande aux 4 mois, c'est déjà beaucoup mieux.

 

Il faut se dire qu'il y en a des pires que nous et il faut se consoler.  Pour l'instant nous sommes en vie et c'est cela qui est important. Nous sommes courageuses et c'est notre courage et notre détermination qui nous aide.

 

http://www.alasanteglobale.com/selye.html

 


~ Il y a actuellement personnes connectées à Over-Blog dont sur ce blog ~


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4 mai 2011 3 04 /05 /mai /2011 06:15

Que les mois passent rapidement, encore un autre traitement d'Arédia demain. J'espère que le problème du Porth-O-Cath sera définitivement résolu et que l'administration de mon traitement se déroulera bien.

 

Pour le peu de bien que ce traitement m'apporte, tant qu'à moi si ce ne serait pas de protéger mes os et de prévenir les fractures, je m'abstiendrais de le recevoir. J'ai toujours de la douleur après le traitement, d'ailleurs j'ai remarqué que mes douleurs ont débutées depuis que je reçois l'Arédia.

 

J'en ai même parlé à l'oncologue pour lui demander de changer l'Arédia pour le Zometa et il ne semblait pas être en accord.  Je lui ferai à nouveau la demande à mon prochain rendez-vous.

 

Est-ce que je suis la seule à avoir de la douleur lors de ce traitement? On m'a dit au début des traitements en 2009 que c'était un bon signe d'avoir de la douleur, ça signifie que le traitement agit....admettons que je me passerais bien de ces effets secondaires.  Comment vivez-vous cela les traitements tous les mois, en avez-vous raz le bol tout comme moi?

 

Mais je n'ai pas le choix de le recevoir et vous non plus si vous souffrez d'un cancer métastasé aux os. Ça peut éviter de graves problèmes, donc souhaitons-nous du courage. En parler fait du bien.

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20 avril 2011 3 20 /04 /avril /2011 05:45

Le lien ci-dessous relate le début de mon cancer, la nouvelle des métastases. J'ai ajouté le lien de cet article (juillet 2009)  afin que vous puissiez comprendre quelle a été ma réaction à l'annonce et comment je le vis presque 2 ans plus tard.

 

J'ai publié l'article à nouveau car j'ai apporté des modifications à la police ainsi que du format pour que ce soit plus facile à lire.

 

link

 

Comme je le décris dans l'article de juillet 2009,  je ne réalise pas que j'ai un cancer et ce, même si j'ai subit l'ablation du sein.  Je me sens bien portante en 2009 et c'est presque inimaginable ce diagnostic.

 

Même aujourd'hui, (avril 2011) je peux en parler sans pleurer et les gens sont très surpris de ma force. Je sais que le cancer se généralisera comme m'a prévenue l'oncologue et pour moi c'est insensé. Je n'y crois pas encore même après tout ce temps. Est-ce que je vis  un cauchemar?  Pourtant j'ai toute ma tête, j'ai des traitements tous les mois, j'ai un porth-o-cath, je vois l'oncologue aux 4 mois, et c'est suffisant pour le réaliser et mon attitude est comme si on me disait que j'ai une très mauvaise grippe?

 

Pourtant avec les douleurs qui sont apparues et qui ont augmentées, nul doute que j'ai bien ce maudit cancer. Est-ce que je le réaliserai seulement quand je serai  amaigrie et mourante? Je ne peux vous répondre...

 

Et malgré tout cela, je suis tout de même heureuse de le vivre ainsi, avec cette force de continuer chaque jour, d'être remplie d'espoir que cette échéance sera la plus loin possible.  Heureusement que je réagis ainsi, sinon ma vie serait infernale de vivre en ne faisant que penser qu'un jour, ce cancer aura raison de moi.  Ça peut arriver dans plusieurs années et je le souhaite. Pour l'instant je suis trop jeune pour mourir et je ne veux pas mourir.

 

Il n'y a pas une personne qui réagit de la même façon au diagnostic, et de vivre l'après, (chirurgie, traitement, perte de cheveux, etc...).

 

Chaque matin je remercie la vie, de pouvoir admirer la nature, de nourrir mes oiseaux, de cajoler mon chien, d'être bien chez moi avec mon mari. Encore cette année lorsque la neige s'est mise à fondre, je me suis demandée comme l'an dernier, et comme l'hiver 2009, si je reverrais la neige tombée l'année suivante. 

 

Et à chaque été, je me questionne si je serai encore là pour voir mes fleurs pousser, si j'aurai le bonheur d'être grand-mère....c'est un questionnement de tous les jours. Et toutes ces belles choses que j'aime, me font garder espoir que je verrai encore mes fleurs pousser et la neige tomber à chaque hiver et surtout de pouvoir vivre le bonheur d'être grand-mère. 

 

Je n'ai jamais autant aimé la vie que maintenant, et depuis que je sais  que je la perdrai avec ce cancer,  je me rends compte que j'ai perdu beaucoup de temps à être insatisfaite et maintenant que je suis malade, je l'apprécie  tellement et  je veux vivre chaque seconde, chaque minute!

 

 

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17 avril 2011 7 17 /04 /avril /2011 22:30

J'aimerais vous faire part d'un message que j'ai reçu de Diane et c'est plein de bon sens.

 

 

6280-1-.jpgHommage aux femmes atteintes du cancer du sein et lectrices du blog de France. Ce type de cancer ratisse large sur la planète. À ce jour seules nos cousines de la « douce France » ont convergé vers le blog de France au Québec, à ma connaissance. Les femmes de tous les continents sont les bienvenues pour appuyer et supporter France sur ce blog. L’énergie qui s’en dégage est décuplée à chaque fois qu’une nouvelle femme s’invite et commente un article de France.

 

Cette histoire qui est tienne, France
Est aussi la vôtre, femmes du Québec et de la France
Vous croyiez être seules avec votre désespoir
Vous aviez des milliers d’alliées, sans le savoir


Dans les villes et les villages du Québec, de la France et d’ailleurs
Des femmes souffrent et tombent sous le poids de la douleur
Le cancer est un redoutable prédateur qui n’a d’égal que les faux amis
Ceux qui accourent et font des courbettes avant de tomber dans l’oubli.

 

 

Amicalement, Diane

 

180116 1875160921571 1317657176 2197957 1064697 s[1]Comment faire pour rejoindre autant les Québécoises et les autres nationalités, je me le suis demandée, et Diane y fait allusion et ça me revient qu'il faut que je rejoigne le plus de femmes possibles à travers le Québec.

 

Vous vous souvenez, je vous ai demandé si vous étiez intéressées pour un recours médical?  Comment puis-je le faire si peu de Québécoise sont présentes.  Je n'ai rien contre les autres nationalités, mais pour se tenir debout lorsqu'un problème est limité au Québec ou au Canada, il faut que vous réagissiez.

 

Je vous demande par le biais de votre courriel, de la messagerie messenger, et tout autre moyen de communication tels:  Twitter, Facebook de rejoindre vos amis(es) afin de les sensibiliser à ce fléau qu'est le cancer du sein.

 

Aucune femme ne peut dire qu'elle n'aura pas à vivre le cancer du sein ou qu'une personne très proche n'en sera pas atteinte.

 

Il faut se serrer les coudes et rejoindre le plus de femmes possibles. Invitez vos amies à être solidaires dans cette cause qui enlève la vie à trop de femme.

 6280-1-.jpg

Je veux rejoindre autant le Québec que toute autre nationalité! 

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14 avril 2011 4 14 /04 /avril /2011 04:30

img_whyHairFallOut-1-.pngJ'ai écrit des articles sur la perte de cheveux causée par Arimidex dans le passé. C'est un des effets secondaires de ce médicament.  Il m'arrive 2 à 3 fois par an de perdre quelques cheveux.

 

J'ai remarqué que cela se produit à l'automne et au printemps. Le cycle normal pour la majorité des femmes je crois sans même prendre Arimidex.

 

Si je reviens sur le sujet, c'est qu'en ce moment je suis en mode (mue) je perds plusieurs cheveux par jour.  Ça ne m'inquiète pas et c'est peu abondant.  En principe nous pouvons perdre entre 60 et 100 cheveux par jour.

 

Ne vous inquiétez pas si cela vous arrive, c'est tout à fait normal. Certaines auront de la difficulté à retrouver leur chevelure d'avant la chimiothérapie,  mais il existe des professionnels en soins capillaires qui peuvent vous aider, n'hésitez pas à les consulter.

 

 

 

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12 avril 2011 2 12 /04 /avril /2011 02:01

Quel est le degré de responsabilité de la radiothérapie pour un premier cancer dans la survenue d’un second cancer ? Selon une nouvelle étude américaine parue dans le « Lancet Oncology », peu de seconds cancers seraient attribuables à ce traitement. La génétique et le mode de vie seraient principalement en cause.

 

Je n'ai pas reçu de radiothérapie parce que j'ai subit une mastectomie. Tout dépend peut-être de la forme de cancer du sein pour en recevoir ou pas. Je connais des personnes qui ont subit une mastectomie et qui ont reçu de la radiothérapie.

 

 

Plus de la moitié des patients souffrant d’un cancer reçoivent aujourd’hui un traitement par radiothérapie. En bloquant la capacité des cellules cancéreuses à se multiplier, la radiothérapie est un des traitements incontournables. Toutefois, par rapport à la population générale, les survivants d’un cancer ont un risque accru de cancer de 14%. Mais est-ce à mettre sur le compte du mode de vie, de la génétique ou du traitement du premier cancer ?

 

Les chercheurs de cette nouvelle étude ont voulu connaître la proportion de seconds cancers pouvant être mis sur le compte de la radiothérapie. Ils se sont ainsi intéressés à près de 650 000 patients de 20 ans et plus, traités par radiothérapie pour un premier cancer, déclaré à un des registres américains de surveillance des cancers.

 

Ces patients souffraient de différents cancers, situés sur des sites habituellement traités en routine par radiothérapie : oropharynx, glandes salivaires, rectum, anus, larynx, poumons, tissus mous, sein, col utérin, endomètre, prostate, testicules, yeux, orbite, cerveau et système nerveux central, thyroïde.

 

Pendant la période de suivi de 12 ans en moyenne, 9% des patients de la cohorte ont développé un second cancer solide. De plus, dans les 15 ans qui suivent le diagnostic d’un premier cancer, la radiothérapie était responsable d’un excès de 5 cancers pour 1000 patients traités.

 

Les auteurs concluent qu’une « proportion relativement petite de seconds cancers est liée à la radiothérapie chez l’adulte, ce qui suggère que la plupart de ces cancers sont dus à d’autres facteurs, comme le mode de vie et la génétique ». 

 

J'avoue que ça fait un peu peur tout cela, mais il y a aussi d'autres facteurs qui peuvent être responsables des seconds cancers.



 



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8 avril 2011 5 08 /04 /avril /2011 21:56

Je constate en vous lisant que je ne passe pas autant d'examen que vous toutes qui avez eu un cancer et/ou qui êtes en rémission.mammographie-1-.jpg

 

Ma soeur qui est en rémission ne passe pas d'examen à l'exception des analyses sanguines CEA et CA 15-3 tout comme moi ainsi qu'une mammographie une fois par an.

 

Je vois que plusieurs passent périodiquement des:

 

Tep Scan

IRM

Mammographie

Poumons

Etc......

 

Chaque oncologue pratique différemment il faut croire et j'avoue que dans le tout début de la maladie j'ai passé tout ce qui devait être passé et lorsque l'oncologue est tombé sur le diagnostic de métastases osseuses, il n'y a jamais eu d'autres examens pour vérifier si les métastases s'étaient propagées.

 

Ça m'inquiète un peu et je lui pose la question à chaque visite (aux 4 mois) et non il est contre lorsque les résultats des :  CA 15-3 et les CEA sont bons.

 

Et comme mon état est stable je pense qu'il serait raisonnable d'avoir confiance en lui. Si les métastases se propageaient, il y aurait des changements dans le résultat de mes analyses sanguines faites aux 4 mois.

 

Il est tout à fait contre de passer ces examens lorsque les résultats sont positivement concluants, il n'est pas en accord de faire subir autant de radiation à ses patientes et il a raison.

 

Je garde confiance et on verra bien en juin si tout est encore stable.

 

 

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Profil

  • bfrance
  • Je suis une femme de 60 ans, née au Québec le 7 décembre 1956. Je suis mariée et mère d'une fille de 37 ans. 

Mon cancer a été diagnostiqué en janvier 2009. Je continue d'aimer la vie, je la vois différemment maintenant mais je suis positive et je trouve toujours la vie belle.
  • Je suis une femme de 60 ans, née au Québec le 7 décembre 1956. Je suis mariée et mère d'une fille de 37 ans. Mon cancer a été diagnostiqué en janvier 2009. Je continue d'aimer la vie, je la vois différemment maintenant mais je suis positive et je trouve toujours la vie belle.

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